jeudi 3 mai 2012

Les concours des "mini-miss" font polémique


Le monde des miss, Maud Chevallier, la trentaine, le connaît par cœur. Candidate malheureuse à Miss Alsace en son temps, elle a enchaîné des tas de concours de beauté et décroché plusieurs titres ça et là. Pendant cinq ans, cette “fashion victim” a travaillé pour le label “Mini Miss”, qu’elle a quitté en claquant la porte pour racheter la marque “Graine de Miss” en 2001 avec Julien Masson. Ce concours est donc son premier cru.



Interview vérité sur le rapport Jouanno, qui a préconisé en mars dernier de supprimer ce genre de concours au nom d’une trop grande sexualisation des enfants.
Êtes-vous d’accord avec le terme “d’hypersexualisation” de ces concours ?

« On raconte des histoires de princesses aux petites dès qu’elles sortent du berceau. C’est normal que les petites filles s’identifient aux belles princesses ! Notre concours, ce n’est rien de plus qu’une journée de conte de fée pour elles. Il n’y a rien de sexuel, rien de pervers. Les filles s’amusent à jouer aux princesses en toute simplicité. Et en plus, à la fin, elles ont des cadeaux ! »

Pensez-vous que votre concours respecte les enfants ?

« Mais à 100 % ! Les enfants sont rois pendant cette journée. Les parents sont interdits de loge pour ne pas qu’ils mettent la pression aux enfants. Personne ne doit les perturber, ils sont juste là pour s’amuser entre eux. » --- Source >> ledauphine.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire